31.5.06

Sweams





La torpeur d'un été recréé à l'abri de quatre murs et des corps;

L'air, qui s'infiltre, brise de soleil et nuages qui pleurent, à grosses gouttes mouillés, comme un écho ;
Et comme la pluie qui file, vers l'Ouest, la mélancolie souffle à l'oreille des sourds, emplit la tête et coule encore, coule ailleurs, ne laissant qu'un sable sec, et doré, et pur;

Et des rayons se chassent tout le long des murs bleus, l'horloge tourbillonne, mais dans cette bulle le temps s'étire comme la courbe du cou d'un rêve, un duvet scintillant retient les minutes avec le regard, pour que l'on vive encore;

Pour que l'on vive encore, impressions, et toujour
s.

2 comments:

KhâlmarTsum said...

...merci. c'est une belle image.

Et meme si... c'était pas comme ça que ça aurait du se finir, le club, c'était une belle fin.

Et puisque dans ces moments, semble-t'il, il vaudrait mieux fermer sa gueule que de prononcer les mots qui de toutes façon ne seront pas les bons, je me tais, je ferme les yeux, et je souris :)...

Anonymous said...

Hi! Just want to say what a nice site. Bye, see you soon.
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