Comment ça deux semaines? o.o
29.11.06
27.11.06
Les bienveillantes
Je revendique le droit à fourrer son nez.
Je revendique les droit aux potins, disons le tout net, le droit à la médisance. Je revendique le droit de parler de tout, de rien, de tous surtout. Et de juger. Ne serait-ce, oui, que subjectif. Je m'accorde le droit de froncer les sourcils ou de rire, tout en admettant qu'apres tout, je suis bien placée pour parler.
Oui, je revendique ce droit à la médisance. Et pourquoi pas? Une bonne fois pour toutes, c'est tellement jouissif. Et tellement drôle aussi de danser sans cesse sur la ligne du politiquement correct. Et des allusions. Et des non-dits qui temoignent, "dans mes lectures", de tout un monde en commun, une culture qui provoque la meme imagination,la meme tendance, la meme entente.
Les mêmes réactions. Les justifications. Les allusions, les réactions, les extrapolations.
Et puis le retour au calme.
Les yeux brillants.
De rien, just my imagination. Dieu tout puissant? Oui, me voici.
Je revendique le droit à ma divinité. N'est-ce rien?
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8:33 PM
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khomments
26.11.06
Il faut l'écriture à nouveau. Je perds les mots. Ecrire, je le peux. Veux.
Et s'il faut la drogue pour l'art, je vivrai.
A suivre.
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2:05 PM
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khomments
Et avec ça?
L'épidémie de gastros en Novembre est en fait un don de Dieu, qui dans sa grande bonté et sa divine tolérance nous fait maigrir, mortels que nous sommes,afin que nous ne culpabilisions pas des excès du Réveillon.
Prions, mes frères.
La tête au dessus de la cuvette.
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12:21 PM
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khomments
24.11.06
Thym
Boucles de pluie.
L'appareil à la main, le noir tranché, fée électricité. Tu parles.
Mais les images s'accumulent, peu à peu, la musique, aussi.
Revoir ses priorités... oui, l'année de tous les rêves. Ils ont trop attendus pour s'en formaliser - et fermer les yeux, hésitante, longue nuit.
Always have something to look forward to - always hook an eye on the future, soas to keep some notion of the passing of time.
And keep all skin intact. Deal?
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7:17 PM
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18.11.06
Mushy
4 ans. Mine de rien, on s'y attache, à ces petites bêtes.
Et ça ne me rajeunit pas, tout ça...
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6:25 PM
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16.11.06
REReflexion.
S'agit juste de comprendre que c'est un style qui ne va pas à tous.
Et lorsque le radar manque d'exploser, parfois, c'est une radiation tortueuse et qui se cherche, parfois, c'est tellement tomate-salade-oignons que c'en devient écoeurant.
Tenter de deviner. Mais c'est même plus drôle, sinon.
Se poser L , c'est bien.
Se poser L lorsqu'on fait uniquement confiance, comme les Cockneys, à son propre sense du style, c'est mal.
Et quand aux ubuesques représentations tordues de ce que subversif peut faire, subversif fait sa crise d'ado, subversif se pose face à la société, et subversif oublie son simple sens esthétique... O Muses, aidez ces âmes en peine!
Voila.
C'est court c'est simple et c'est une prière. S'affirmer c'est bien. Choquer les sens l'est moins.
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10:52 PM
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khomments
12.11.06
Tomorrow
Moi, (j'adore commencer un post par ce Moi) ce qui me rassure, c'est la lucidité des gens. Oui - on se fait notre cinéma, paresse et peur, qu'on appelle impossible : et bien? Et bien tous le savent, et en rient, et y retournent, presto, rendus sages? Non. Mais quelque peu vitriol, si l'on râcle entre les molaires. Vous savez, c'est bleu-vert, froid, translucide, tout comme la lumière d'hiver, si belle, et après tout si abstraite. Vue du ciel.
Les nouveaux anges sont les poupées pixels, celles que l'on parcoure à la nuit tombée. Sans le dire. Surtout.
Et la multiciplicité sensitive se joint au vide concret, splendide tant il est bête et méchant,matériel, et donc : demandeur.
Trop abstrait? non. oui. je voulais écrire, surtout.
Pour ne rien dire - puisque les mots échappent. Salis encore de leurs sens , sans l'accord de la raison.
Je manque.
Et j'en réjouis. Sweet dreams, brothers in harm-
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10:04 PM
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khomments
5.11.06
There are twenty years to go
Lorsque les blogs se répondent en écho et se frappent chacun d'autant plus vers les profondeurs, lorsque les mots se suivent et se reprennent, lorsqu'un pronom est schizophrène, lorsque certains sont morts et palpitent encore, lorsque certains vivants sont froids, et plats comme linoleum, c'est que la nuit enfle les mots
Des vents tournent les pages,
des feux rabattent leurs bêtes effrayées jusque sous nos pas.
Avons nous cru que nous mènerait loin
Le chemin qui se perd dans l'évidence?
Non, les images se heurtent à l'eau qui monte,
Leur syntaxe est incohérente, de la cendre,et
bientôt même il n'y a plus d'images,
Plus de livre, plus de grand corps chaleureux du mondre
A etreindre des bras de notre désir, juste l'émotion, les vagues, la vague un peu convexe aux bords déchiquetés qui s'abat sur le corps, et le froid, la nuit, intérieur, des mots qui se mélangent, le leurre des mots, bonnefoy.
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12:22 AM
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