23.11.05

Beep.

J'aimerais etre presidente, pour appuyer sur le gros bouton rouge.

~

Comme envie de sang sur les murs
Comme envie d'accident d'voiture
J'ai comme envie d'n'importe quoi
Comme envie d'tout casser chez toi
Comme envie d'expliquer comme ça
Je peux très bien me passer de toi
J'ai comme envie d'une fin torride
Comme on en voit qu'au cinéma
J'ai comme envie qu'ce soit terrible
Et qu'ça se passe juste en bas de chez toi

~

And now, to cool off in a hot tub.
See y'all.
Et bonne nuit les petits.


Les Dés toujours

Y'a des jours comme ça, où on se dit que doit bien y avoir une main derrière les dés du Hasard....

J'allume l'ordi avec quelques paroles de chansons dans la tête, sans vraiment me rapeller de tous les mots - vite fait, tape les lyrics sur google pour trouver de quoi il s'agit : ah? City of Blinding Lights, de U2.
Tiens, pense lsh, il serait temps que je la telecharge, cette chanson, j'ai envie de l'écouter...
J'ouvre alors iTunes, et clique machinalement sur 'ouiFM-relais 128kb', au cas ou - et paf! je me prends dans la figure les deux dernières minutes de City of Blinding Lights, de U2 toujours.

Bon...l'explication rationnelle serait que j'ai entendu ouifm jouer dans une voiture a travers la fenetre, ou quelque chose du genre...
mais ce matin, m'en fiche un peu du rationnel, et merci dieu Hasard^^

18.11.05

Subterranean etc.

(et oui, c'est moi..sans les lunettes, qu'est ce qu'on change, nan? surtout à 2-3 ans...)

En fait, je me suis rendue compte il n'y a pas si longtemps que plusieurs de mes chansons fetiches d'artistes comme clapton ou dylan m'avaient en fait été chantées par mon américain de père depuis l'enfance. Ceci expliquant cela, j'ai donc décidé d'en copier certaines paroles dans ce blog...
histoire de quoi, d'ailleurs?
Boaf - histoire de.


Johnny's in the basement
Mixing up the medicine
I'm on the pavement
Thinking about the government

b.dylan


I shot the sheriff, but I did not shoot the deputy.
I shot the sheriff, but I did not shoot the deputy.
I shot the sheriff, but I swear it was in self-defense.
I shot the sheriff, but I did not shoot the deputy, oh no...

e.clapton


Say, up in Harlem,
At a table for two,
There were four of us,
Me, your big feet and you!
From your ankles up, I say you sure are sweet,
From there down, there's just too much feet!
Yas!
Oh, your pedal extremities are colossal!
Your feet's too big!

fats waller


'Cause I'm a honky tonk man and I can't seem to stop
I love to give the girls a whirl to the music of an old juke box
But when my money's all gone, I'm on the telephone singing
Hey, hey, mama can your daddy come home


dwight yoakam

15.11.05

Cityscape


Cityscape
~
(NY skyline Mother Herman, night sky+lamp lsh, center picture Metissa)

12.11.05

the Pretenders


Dédicace aux idéalistes de ce monde...
heureusement que vous êtes là, vous en general et tous en particulier.


May God bless you and keep you always
May your wishes all come true
May you always do for others
And let others do for you
May you build a ladder
To the stars
And climb on every rung
And may you stay
Forever young

Forever young
Forever young
May you stay
Forever young

May you grow up
To be righteous
May you grow up to be true
May you always know the truth
And see the lights surrounding you
May you always be courageous
Stand up right and be strong
And may you stay
Forever young

Forever young
Forever young
May you stay
Forever young

May your hands always be busy
May your feet always be swift
May you have a strong foundation
When the winds of changes shift
May your heart always be joyful
May your song always be sung
May you stay
Forever young

Forever young
Forever young
May you stay
Forever young

the pretenders, "forever young"

So's


How to bake your cake and eat it too =)

(et a nouveau...joyeux anniv a so)

9.11.05

O captain, my captain...

~
"We read and write poetry because we are members of the human race - and the human race is filled with passion."

"Show me the heart unfetted by foolish dreams, and I'll show you a happy man.
- But only in their dreams can man be truly free..."


"Poetry can come from anything with the stuff of revelation in it."

"Truth ! Truth, like a blanket that always leaves your feet cold : from the moment we enter crying to the moment we quit dying, it will only cover your face as you wail, and cry, and scream."

"...Carpe diem."

Une chanson douce...

(toujours adoré cette image - on ne se refait pas)



Il faut faire attention aux mots.
Ne pas les répéter à tout bout de champs. Ni les employer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges.
Autrement, les mots s'usent.
Et parfois, il est trop tard pour les sauver.

-la grammaire est une chanson douce, E.Orsenna

***

( ai téléchargé à nouveau The Calling : Wherever you will go...
après la soirée chez Alaya, me suis dit que cette chanson me manquait. Puis les recents souvenirs se mêlent aux anciens, les effacent petit à petit...
triste? nan. c'est comme ça. la memoire est tres selective.
Carpe diem...)

***

J'en ai marre de me casser les dents sur de la guimauve. mais je ne tiendrais jamais un régime. Faim...
Alors on ferme les yeux et on sourit.
Je me crêve les yeux pour apercevoir cette étoile qui se cache et me fait 'peekaboo!' de derriere la lune au chaud dans son chapeau haut-de-forme. Les ecouteurs sur les oreilles, face aux nuages , à toujours trop penser.
Someday. Yeah, right.

1.11.05

J'veux qu'on baise sur ma tombe



A la lumière obscure
Je te croise enfin
Mon dieu que tu es belle
Toi la seule toi l'ultime
Entre les hommes égalité
S'il te plait prends ma main
Ne te fais plus attendre
Il est temps de s'étreindre
De s'éteindre
Une dernière cigarette


Les guerriers de la route avaient pourtant prédit
La mort ou la naissance
Ca dépend du cœur
Au soleil qui s'incline
Allez finissons en
Et laissons s'accomplir le firmament
Plongé dans l'infini dans le gouffre sacré
De Katagena
Me noyer à jamais
Et puis quitter ce monde sans pudeur ni morale

Jveux qu'on baise sur ma tombe
Jveux qu'on baise sur ma tombe

Que la grâce s'accomplisse
Immortelle jouissance
Que les femme s'unisse dans un parfait accord
Rien que pour un instant
L'éphémère devienne
Eternité


J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Que c'est beau d'aimer
J'aurais aimer t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi
Tu vois je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi
Ce monde n'est pas le mien


Au revoir mes amis
Au revoir mes frères
Au revoir mon pays
A nous deux la lumière
Au revoir Franckie
Au revoir les printemps
Au revoir pauvre monde
A nous deux satan
Au revoir mes amis
Au revoir mes frères
Au revoir mon pays
A nous deux la lumière.

Saez